Né le 5 Juin
1931 à Pont-Château (Département de Loire-Atlantique, Région Pays-de-la-Loire,
France)
Décédé le 27
Octobre 1990 à Paris (Région Île-de-France, France)
Nom de
Naissance : Jacques Louis Raymond Marcel DEMY
Inhumé au
Cimetière de Montparnasse à Paris, XIVe arrdt.
Liens
familiaux :
-Époux (de
1962 à sa mort) de :
Agnès VARDA,
réalisatrice, scénariste, chef monteuse, actrice, productrice et directrice de
la photographie (née Arlette VARDA le 30 Mai 1928 à Ixelles, Province du Brabant,
Belgique)
-Père de 2
enfants :
1. Mathieu
DEMY, acteur, réalisateur, scénariste, producteur et chef monteur (né le 15
Octobre 1972 à Paris, Région Île-de-France, France)
2. Rosalie
VARDA, créatrice de costumes et actrice
RÉALISATEUR,
SCÉNARISTE, ACTEUR ET PRODUCTEUR FRANÇAIS
BIOGRAPHIE
Il était une fois un petit garçon, Jacques
DEMY, dit "Jacquot", qui vivait à Nantes et qui adorait les
spectacles... Ainsi pourrait-on commencer la biographie de celui qui, comme ses
célèbres "Demoiselles de Rochefort", est né sous le signe des
Gémeaux, le 5 juin 1931 à Pont-Château, dans la banlieue nantaise, d'un père
garagiste et d'une mère coiffeuse.
Très tôt, l'enfant se passionne pour le
théâtre de Guignol, confectionnant avec amour des marionnettes, et se berçant
d'opérettes au théâtre Graslin. Sa vocation de cinéaste, il la doit à une
indicible curiosité, moins pour ceux qui s'agitent sur scène, que pour ce qui
se passe derrière le rideau refermé quand la salle s'est vidée... La scène nue,
le mur du fond, les machinistes qui travaillent, cette vie parallèle qui
précède et suit le spectacle décident inconsciemment
de son avenir. Il fréquente assidûment les cinémas de son quartier deux fois
par semaine, se fait offrir un projecteur Pathé-Baby, puis trace ses premières
histoires avec des encres de couleur sur des bandes pré-imprimées qu'il a pris
soin de plonger au préalable dans l'eau chaude pour dissoudre la gélatine, afin
de leur rendre leur transparence initiale... Très vite, les dessins laissent
place à la confection de personnages en carton qu'il filme image par image dans
le grenier de ses parents transformé en studio...
Sur les encouragements du réalisateur
CHRISTIAN-JAQUE, de passage à Nantes, Jacques monte en 1949 à Paris où il est
admis à l'École Technique de Photographie et de Cinématographie, rue de
Vaugirard. Son film de fin d'études, "Les Horizons morts", traduit
les désespérances de l'adolescence, selon une inspiration du cinéma de Robert
BRESSON, qu'il admire...
Deux rencontres successives et
déterminantes vont dessiner le destin de Jacques DEMY: Paul GRIMAULT, tout
d'abord, maître de l'animation en France, qui traverse une mauvaise passe (il a
été dépossédé de son film "La Bergère et le Ramoneur" [1953] et survit
en tournant des films publicitaires), et à qui Jacques apporte son aide,
histoire de se faire la main, durant deux ans. Georges ROUQUIER, ensuite, le
plus grand documentariste français de l'époque, qui a obtenu un phénoménal
succès avec la chronique paysanne "Farrebique" (1946), propose à
Jacques de devenir son assistant. Le même ROUQUIER produira le premier
court-métrage de son élève, "Le Sabotier du Val de Loire", hommage du
réalisateur à la famille qui l'a accueilli de 1943 à la Libération et à un
métier dont il a appris les gestes avec abnégation.
Après avoir signé quatre autres
courts-métrages et immortalisé pour Pathé-Cinéma le mariage du Prince Rainier
de Monaco avec Grace KELLY, c'est tout naturellement que Jacques DEMY assiste,
incrédule, à l'effervescence d'un nouvel élan cinématographique qui anime la
France de la fin des années 50 : la Nouvelle Vague (Agnès VARDA, sa compagne
rencontrée à cette période, s'y est essayée dès 1955 avec "La Pointe
courte"). Il figure d'ailleurs dans deux œuvres-phares de cette période
("Les Quatre Cents Coups" et " Paris nous appartient") et
fait le serment de rester fidèle à un mouvement, dont il épouse avec confiance
la trivialité et la façon toute personnelle de dire "je"...
Le projet de comédie musicale avec Anouk
AIMÉE pour interprète principale qu'il nourrit depuis un moment se dessine
enfin, à la faveur d'une rencontre avec le producteur Jacques de BEAUREGARD,
alors associé à Carlo PONTI. Mais il lui faut voir ses désirs à la baisse:
budget restreint qui ne permet pas la moindre fantaisie, noir et blanc
dépouillé pour uniques couleurs,... Ce sera "Lola" en 1961, que
Jacques, le Parisien d'adoption, choisira de situer à Nantes, ville portuaire
qui ouvre le monde à tous les espoirs. Et puis, le film scelle une rencontre
déterminante: celle du compositeur Michel LEGRAND, à jamais dès lors
étroitement lié à la filmographie de Jacques. Déjà, "Lola" trace les
sillons d'une œuvre à venir: les personnages qui hantent la pellicule errent
dans des lieux provisoires, se croisent sans se voir, ont leur vie propre, et,
tels les personnages d'une saga de la littérature naturaliste, laissent la
possibilité de réapparaître d'un film à l'autre...
Après le projet avorté d'une
"Carmen" qui aurait réuni Alain DELON et Sophia LOREN, puis un
exercice de style ("Les Sept Péchés capitaux" obéissent à la mode des
films à sketches), "La Baie des anges" en 1963 se monte sans
difficulté, dès lors que Jeanne MOREAU a donné son accord. Blonde platine, tout
de blanc vêtue, prisonnière de Nice et de son casino,
elle transfigure une sorte de Vierge aux enfers, dévorée par la passion du jeu.
Et si l'amour l'emporte dans ce film résolument optimiste, on pense à Orphée
venant délivrer Eurydice des ténèbres!
Mais Jacques DEMY et Michel LEGRAND songent
désormais à introduire dans le paysage cinématographique français un genre
musical aux antipodes du modèle américain : ce sera le "film en
chanté" (selon une formule toute "demyenne"), où la partition
sera modulée sur le discours parlé, où les acteurs seront doublés et la
bande-son préenregistrée. Un diptyque en naît, pierre angulaire de l'œuvre du
cinéaste... Deux films à la fois antagonistes et jumeaux, dont Catherine
DENEUVE constitue le fil conducteur.
Le premier, "Les Parapluies de
Cherbourg", filmé entièrement en extérieurs en 1964, met en chorégraphie
des personnages ordinaires, célèbre en un divertissement populaire aux accents
mélodramatiques les élans de la jeunesse. Catherine DENEUVE y est doublée par
Danièle LICARI, la propre sœur de Michel LEGRAND. Le film remporte le Prix
Louis-Delluc, la Palme d'Or à Cannes et est sélectionné aux Oscars; jamais plus
Jacques DEMY ne connaîtra un tel état de grâce...
Le second opus (la partie joyeuse du
diptyque), "Les Demoiselles de Rochefort", filmé trois ans plus tard,
fait alterner en une "opérette sentimentale" musique et paroles,
alexandrins et calembours en un joyeux mélange, sous un ciel volontiers
céruléen et dans des décors pastels, où évoluent gaiement Catherine DENEUVE et
Françoise DORLÉAC sous le regard bienveillant de Danielle DARRIEUX (seule
interprète du film à ne pas être doublée pour les parties chantées)... Hommage
aux comédies musicales hollywoodiennes, le tournage accueille trois de ses
représentants : Gene KELLY, George CHAKIRIS (vedette de "West Side
Story" [1961] de Robert WISE, la comédie musicale aux 10 Oscars) et le
chorégraphe Norman MAEN....
Puis vient le temps de la parenthèse
américaine : sous contrat à la Columbia, Jacques DEMY ne songe pas à célébrer
Hollywood, mais cherche plutôt à évoquer sa fascination pour Los Angeles
(encore une ville portuaire), géométrique et quotidienne : "Model
Shop" (1968) permet de retrouver "Lola"-Anouk AIMÉE en femme
abandonnée, cherchant à réunir l'argent qui permettra son retour en France, en
posant pour des photographes amateurs... Le film est un échec, la Columbia qui
traverse une période faste ne s'en offusque pas et est même prête à renouveler
l'expérience, mais Jacques DEMY préfère rentrer en France...
C'est à présent le temps des contes et
des légendes médiévales... "Peau d'âne" en 1971, d'après Charles
Perrault, au budget limité, oblige le cinéaste à tourner dans trois décors
uniques : la ferme de Gambais, le château du Plessis-Bourré près d'Angers et
celui de Chambord. La perversité toute freudienne du conte (le désir incestueux
d'un roi devenu veuf pour sa fille) permet à DEMY de construire un remarquable
récit au réalisme poétique qui rappelle Jean COCTEAU... "Le Joueur de
flûte (The Pied Piper)" en 1972, production entièrement britannique, est
un récit plus noir encore qui évoque la fin de la féodalité, l'avènement du
pouvoir politique donné aux bourgeois et l'obscurantisme religieux. Le
rôle-titre de ce film rare est confié à un balladin des temps modernes, DONOVAN
(également compositeur de la musique)...
Les années 70 sont aussi le temps de
l'échec et des doutes. Tout avait pourtant commencé sous les meilleurs
auspices, puisque c'est en 1972 qu'Agnès VARDA est enceinte de Mathieu; sa
grossesse devient bientôt l'unique sujet de conversation de la future mère, ce
qui agace quelque peu Jacques DEMY qui tient cependant la matière de son
prochain film : comment réagirait un homme s'il se retrouvait... enceint!
"L'Événement le plus important depuis que l'homme a marché sur la Lune",
sorti en 1973, réunit le couple Marcello MASTROIANNI/Catherine DENEUVE, et doit
constituer une satire corrosive de la société (notamment celle de
consommation): il n'en est rien! Le film contient tout au plus quelques gags
plaisants, et accrédite la thèse selon laquelle Jacques DEMY reste un metteur
en scène "gentillet et familial" (producteur et distributeur auraient
sommé le cinéaste de ne pas dépasser les règles de la bienséance, à une époque
où violence et érotisme font pourtant recette)...
Ainsi, jusqu'en 1978, Jacques DEMY voit
plusieurs scénarios refusés, décline une adaptation de "Platée" de
RAMEAU à l'Opéra, et rate l'occasion de tourner en Union Soviétique, une
version d' "Anna Karenine", le chef-d'œuvre de TOLSTOÏ, sous forme de
comédie musicale. En revanche, pari gagné pour l'adaptation d'une célèbre bande
dessinée japonaise sur la Révolution française: "Lady Oscar", doté
d'une distribution essentiellement britannique, est un gros succès au Japon et
dans toute l'Asie, mais passe inaperçu au Festival de Cannes 1979 et reste
inédit dans les salles françaises (seule la chaîne franco-allemande Arte se
décidera à programmer le film quelque... 25 ans plus tard en seconde partie de
soirée !)...
1980 voit les débuts de Jacques DEMY à la
télévision : "La Naissance du jour", d'après le roman
autobiographique de COLETTE, raconte le retrait de la romancière (interprétée
par Danièle DELORME) dans le Midi après une vie tumultueuse ; ce téléfilm est
aussi l'occasion de retrouver Orane DEMAZIS (inoubliable "Fanny" de
PAGNOL) dans l'une de ses ultimes compositions...
"Une chambre en ville" (1982)
et "Parking" (1985), résolument pessimistes, annoncent le déclin d'un
genre musical, qui a été éprouvé jusqu'à la corde. Le premier film, également
appelé "Édith de Nantes", est un retour à la cité des débuts, mais
sans l'équipe qui a fait le succès de DEMY: Michel COLOMBIER se substitue à
Michel LEGRAND pour la musique, Dominique SANDA remplace au pied levé Catherine
DENEUVE, qui, à ce stade de sa carrière, refuse désormais d'être doublée pour
le chant, entraînant aussi la défection de Gérard DEPARDIEU. Nantes, si elle
reste le cadre d'amours passionnées, devient une cité en proie aux violences,
avec pour toile de fond les grèves des chantiers navals de 1955. La composition
de Francis HUSTER dans "Parking" offre le mythe revisité d'Orphée, et
transfigure les icônes du rock: il a le visage de Jim MORRISON (le leader des
Doors), vit dans un château comme Mick JAGGER (le chanteur des Rolling Stones)
et connaît le destin tragique de John LENNON, abattu par un fan...
Vient le temps du retour aux sources ;
Jacques DEMY souhaite délivrer un hommage conséquent au maître de ses débuts,
Paul GRIMAULT, auteur de l'un des plus grands films d'animation français jamais
produits: "Le Roi et l'Oiseau" ; dans "La Table tournante"
(1988), Jacques a l'idée d'utiliser le petit clown (doublé pour l'occasion par
Mathieu) du film emblématique de GRIMAULT pour qu'il rencontre les autres
protagonistes de ses films, et nous fasse ainsi revisiter son œuvre... "La
Table tournante" est un film remarquable de poésie, qui voit colllaborer
deux générations de réalisateurs à l'automne de leur vie...
Il faut toute la persuasion du producteur
Claude BERRI pour parvenir à réunir enfin Jacques DEMY et Yves MONTAND dans une
comédie musicale. "Trois Places pour le 26" a pour vocation de
célébrer le fabuleux itinéraire du chanteur-acteur dans une histoire
improbable, où se côtoient la dureté des temps, la cruauté des femmes et l'irrésistible
ambition...
Jacques DEMY, qui ne s'est pas économisé,
souhaite faire une pause; il s'adonne à la peinture (nourrissant le projet d'un
film sur Vermeer), et rêve de diriger enfin Gérard DEPARDIEU dans le cadre d'un
univers, qui lui tient particulièrement à cœur: le monde des forains... Mais il
tombe gravement malade...
Agnès VARDA, qui veut offrir à son
compagnon de longue route le plus beau des cadeaux d'adieu, entreprend
d'évoquer les souvenirs d'enfance de Jacques, qui se passionne pour le projet.
C'est l'occasion pour le cinéaste de se replonger dans la genèse de son
existence, alors qu'Agnès s'énamoure pour le petit garçon rêveur, l'adolescent
révolté et le jeune homme bressonien, trois facettes de Jacques qu'elle
ignorait, puisqu'elle l'a rencontré quand il avait déjà 27 ans. "Jacquot
de Nantes" (1991) est en effet incarné par trois acteurs qui interprètent
respectivement le futur cinéaste à des âges déterminants (8, 15 et 18 ans).
...Et puis il y a Jacques, le visage
affaibli mais apaisé, triste mais souriant, assis sur la plage, traçant de ses
doigts des sillons sur le sable, contemplant une dernière fois la mer en
souhaitant secrètement qu'elle l'emporte encore vers la lumière; l'image est
muette, en Super-8, comme pour mieux montrer la solennité du futur départ et le
lien désormais ténu qui retient Jacques à la vie....
...Le bruit de la pellicule en mouvement
devient toujours plus sourd, et puis la pellicule casse... définitivement... le
27 Octobre 1990 à Paris.
FILMOGRAPHIE :
*FILMS :
1955 Le Sabotier du Val de Loire (Court-Métrage)
Interprétation : Georges ROUQUIER (voix
narrateur).
(+ Scénario)
France. Documentaire. Noir & Blanc.
Durée appr. : 26 mn.
1957 Le Bel Indifférent (Court-Métrage)
Interprétation : Jeanne ALLARD, Angelo
BELLINI,...
(+ Scénario, d'après une histoire de Jean
COCTEAU ; + Voix)
France. Drame. Couleurs. Durée appr. : 29
mn.
1958 Musée Grévin (Court-Métrage)
Interprétation : Jean-Louis BARRAULT, Jean
COCTEAU,...
France. Documentaire. Couleurs. Durée appr.
: 21 mn.
1959 La Mère et l'Enfant (Court-Métrage)
Interprétation : Blanchette BRUNOY (voix
narratrice).
France. Documentaire. Noir & Blanc.
Durée appr. : 22 mn.
Ars (Court-Métrage)
(+ Scénario)
France. Documentaire. Noir & Blanc.
Durée appr. : 18 mn.
Les
Quatre Cents Coups
Réalisation : François TRUFFAUT ;
Interprétation : Jean-Pierre LÉAUD, Claire MAURIER,...
(Interprétation non créditée seulement)
France. Drame. Noir & Blanc. Durée appr.
: 99 mn.
1960 Paris nous appartient
Réalisation : Jacques RIVETTE ;
Interprétation : Betty SCHNEIDER, Giani ESPOSITO,...
(Participation seulement)
France. Drame Psychologique. Noir &
Blanc. Durée appr. : 141 mn.
1961 Lola
Titre
original italien : Donna di vita
Interprétation : Anouk AIMÉE, Marc
MICHEL,...
(+ Scénario)
France / Italie. Drame. Noir & Blanc.
Durée appr. : 90 mn.
1962 Les Sept Péchés capitaux (Sketch "La Luxure" seulement)
Titre
original italien : I Sette Peccati
capitali
Co-Réalisation : Philippe de BROCA ("La
Gourmandise"), Claude CHABROL ("L'Avarice"),
Sylvain DHOMME ("La Colère"),
Jean-Luc GODARD ("La Paresse"), Édouard MOLINARO
("L'Envie") et Roger VADIM
("L'Orgueil") ;
Interprétation : Laurent TERZIEFF, Jean-Louis TRINTIGNANT,...
(+ Scénario, avec Roger PEYREFITTE)
France / Italie. Sketches satiriques. Noir
& Blanc. Durée appr. : 113 mn.
1963 La Baie des anges
Interprétation : Jeanne MOREAU, Claude
MANN,...
(+ Scénario)
France. Drame. Noir & Blanc. Durée appr.
: 79 mn.
1964 Les Parapluies de Cherbourg
Titre original allemand : Die Regenschirme von Cherbourg
Interprétation
: Catherine DENEUVE, Nino CASTELNUOVO,...
(+ Scénario, dialogues et interprétation)
France / République Fédérale Allemande.
Mélodrame Musical. Couleurs. Durée appr. : 91 mn.
1967 Les Demoiselles de Rochefort
Interprétation : Catherine DENEUVE,
Françoise DORLÉAC,...
(+ Scénario et textes chansons)
France. Comédie Musicale. Couleurs. Durée
appr. : 120 mn.
1969 Model Shop
Titre
original américain : Model Shop
Interprétation : Anouk AIMÉE, Gary
LOCKWOOD,...
(+ Scénario et production)
France / USA. Drame. Couleurs. Durée appr. :
90 mn.
1970 Peau d'âne
Interprétation : Catherine DENEUVE, Jean
MARAIS,...
(+ Scénario, d'après un conte de Charles
PERRAULT ; + interprétation)
France. Conte Musical. Couleurs. Durée appr.
: 100 mn.
1972 Le Joueur de flûte
Titres
originaux : The Pied Piper / The Pied
Piper Of Hamelin
Interprétation : DONOVAN, Cathryn
HARRISON,...
(+ Scénario, avec Andrew BIRKIN et Mark
PEPLOE)
Royaume-Uni / USA. Conte. Couleurs. Durée appr.
: 90 mn.
1973 L'Événement le plus important depuis que
l'homme a marché sur la Lune
Titre
original italien : Niente di grave, suo
marito è incinto
Interprétation : Catherine DENEUVE, Marcello
MASTROIANNI,...
(+ Scénario)
France / Italie. Comédie Satirique.
Couleurs. Durée appr. : 92 mn.
1980 Lady Oscar
Titre
original japonais : Berusaiyu no bara
Interprétation : Catriona MacCOLL, Jonas
BERGSTRÖM,...
(+ Scénario, Adaptation et Dialogues, avec
Patricia LOUISIANNA KNOP,
d'après une bande dessinée de Riyoko IKEDA)
France / Japon. Drame Historique. Couleurs.
Durée appr. : 124 mn.
1982 Une chambre en ville
Titre
original italien : Una camera in città
Interprétation : Dominique SANDA, Richard
BERRY,...
(+ Scénario)
France / Italie. Drame Musical. Couleurs.
Durée appr. : 90 mn.
1985 Parking
Interprétation : Francis HUSTER, Keïko
ITO,...
(+ Scénario)
France. Drame Musical. Couleurs. Durée appr.
: 90 mn.
1988 La Table tournante
Co-Réalisation : Paul GRIMAULT ;
Interprétation : Paul GRIMAULT, Anouk AIMÉE,...
(+ Scénario, avec Paul GRIMAULT)
France. Portrait / Animation. Couleurs.
Durée appr. : 80 mn.
Trois
Places pour le 26
Interprétation : Yves MONTAND, Mathilda
MAY,...
(+ Scénario)
France. Comédie Musicale. Couleurs. Durée
appr. : 106 mn.
1991 Jacquot de Nantes
Réalisation : Agnès VARDA ; Interprétation :
Philippe MARON, Édouard JOUBEAUD,...
(d'après ses
souvenirs ; + Participation non créditée)
France. Biographie Romancée. Couleurs et
Noir & Blanc. Durée appr. : 118 mn.
*TÉLÉFILM :
1980 La Naissance du jour
Interprétation : Danièle DELORME, Dominique
SANDA,...
(+ Scénario, d'après un roman de COLETTE)
France. Drame Sentimental. Couleurs. Durée
appr. : 90 mn.
© Christophe JACOB © Cinéma
m’était conté - pour “Les Gens du Cinéma” (Mise à jour le 16/12/2005)